Côte d'Ivoire de quelle crise s'agit-il?

Publié le par kmcas

 

  Pro-government demonstrators 5

 

  

COTE D’IVOIRE, QUE S’EST-IL PASSE DEPUIS LE DEUXIEME TOUR DE L’ELECTION PRESIDENTIELLE

          

       Une crise a lieu dans notre pays depuis le deuxième tour de l’élection présidentielle qui a opposé Laurent Gbagbo à Alassane Dramane Ouattara(ADO).La communauté internationale  fait preuve de beaucoup d’ingérence dans la politique intérieure de notre ETAT ces jours-ci quand elle se donne le droit de choisir le président à notre place. Elle dit reconnaitre un président qui n’a pourtant pas été choisit par le peuple, confisquant ainsi la souveraineté d’un peuple. Voici comment on viole les textes de l’Onu au vu et au su de tout le monde entier et personne ne lève le doigt car la petite Côte d’Ivoire est opposée à de forte puissance impérialistes. Le plus équerrant est que d’autres Ivoiriens se trouve  dans le camp adverse et profèrent des paroles de haine envers leur patrie. Lorsque j'entends des Ivoiriens parler de leur pays de la sorte j'ai honte. S’il s’agit de gens vivant hors du territoire je comprendrai un peu puisqu'ils sont intoxiqués par les médias occidentaux qui sont les plus puissants du monde. A tous ceux qui me lisent je vais vous relater la situation.


      Selon la constitution ivoirienne il revient à la Commission Électorale Indépendante (qui n'est pas si indépendante que ça puisqu'elle est composée à + de 80%  du RHDP, coalition de partis politiques dont fait parti ADO) de proclamer les résultats provisoires des élections. Puis, c’est le conseil constitutionnel qui doit proclamer les résultats définitifs. La constitution donne 3 jours à la CEI pour proclamer les résultats dans une certaine forme solennelle telle que la présence de tous les commissaires de ladite institution. Si le délai n'est pas respecté alors la CEI est forclose et les dossiers sont automatiquement transmis au conseil constitutionnel, seul juge du contentieux électoral, qui proclame les résultats. La décision de cette institution est sans recours, elle a autorité absolue de la chose jugée. L’ONU en COTE d’IVOIRE n'avait qu'un mandat de certification des élections et pas de validation, ce rôle revenant aux institutions ivoiriennes. Au premier tour l'ONUCI a attendu la proclamation des résultats définitifs par le conseil constitutionnel avant de certifier. Mais que s'est-il passé au deuxième tour?
   Les élections de COTE d’IVOIRE ont été suivies avec grand intérêt par la communauté internationale dans son ensemble et plusieurs organisations ont déployé des observateurs sur presque toute l'étendue du territoire. Ces observateurs ont dénoncé des irrégularités graves, de mesure à entacher la sincérité du scrutin dans la parti centre nord ouest du pays, zones occupées par la rébellion qui soutient ADO. Ces irrégularités sont entre autres: empêchement de vote, séquestration des représentants de Gbagbo et des personnes soupçonnées acquises à sa cause, meurtres, bourrage d'urnes, non présences d'isoloirs, urnes installées hors de la salle, majoration des voix en faveur de ADO, urnes emportées par des personnes non autorisées(seule l'ONUCI devait transporter les urnes), non présence de la signature des représentants de GBAGBO sur les PV, consigne de vote avec violence à l'entrée des bureau de vote...C'est alors que le camp GBAGBO(LMP) dépose une requête en annulation du scrutin dans ces zones  au conseil constitutionnel comme le recommande la constitution. Pendant ce temps à la CEI il y a des discordes puisque les représentants de Gbagbo veulent l'invalidation des résultats dans les zones où il y a  eu violence de la même façon il a été des résultats de la France à cause de violence intervenues dans la seule zone de Paris. M. Bamba Yacouba, porte-parole de la CEI, représentant de ADO a voulu donner les résultats des zones litigieuses alors que ceux-ci n'avait pas encore été consolidés par la CEI. Il a été empêché de justesse par Damanan Pickass comme vous l'avez vu à la télé. Le délai constitutionnel de 3 jours passe sans que la CEI ne proclame les résultats. Le lendemain, le président du conseil constitutionnel passe à la télé nationale pour dire que son institution se trouve saisie pour vider le contentieux électorale et qu'elle lui revient la charge de proclamer les résultats dans un délai de 7 jours.
         Le même jour les ambassadeurs de la France et des Usa prennent le président de la CEI qu'ils amènent a l'Hôtel du Golf, quartier général  de ADO et celui-ci donne des soit disant résultats qui donnent ADO vainqueur devant les médias internationaux, sans la présence de la Radiodiffusion Télévision Ivoirienne(RTI).En même temps l'ONUCI s'empresse de certifier ces résultats, outrepassant donc les termes de son mandat puisque la CEI en tant qu'institution n'a pas donné de résultats et en plus les seuls résultats à certifier sont ceux donnés par le conseil constitutionnel.ADO reçoit les félicitations de la France, les Usa et tous leurs suiveurs de l'Europe et de l'Afrique même. C’est quelques instants après que le conseil constitutionnel donne les résultats sur la chaîne nationale donnant Gbagbo vainqueur.

Extrait de la DECISION N° CI-2010-EP-34/03-12/CC/SG
Portant proclamation des résultats définitifs De l`élection présidentielle du 28 novembre 2010

(…) Considérant qu`à la date du 1er décembre 2010, Monsieur Gbagbo Laurent, candidat à l`élection du Président de la République a introduit auprès du Président du Conseil constitutionnel cinq requêtes tendant à l`annulation du deuxième tour du scrutin dans les départements de BOUAKE, KORHOGO, BOUNDIALI, DABAKALA, FERKESSEDOUGOU, KATIOLA, BEOUMI et SAKASSOU du fait de graves irrégularités qui auraient entaché la sincérité du scrutin;
Considérant que les requêtes ont été faites et déposées dans les formes et délai prescrits par la loi;

Qu`il y a lieu de les déclarer recevables;
Considérant qu`au soutien de ses requêtes, le candidat GBAGBO Laurent expose qu`au cours du second tour du scrutin de l`élection présidentielle du 28 Novembre 2010 et auquel il a pris part, certaines irrégularités sont intervenues;
Qu`ainsi il dénonce des irrégularités graves et nombreuses de nature à entacher la sincérité et la régularité des résultats du vote dans les départements sus indiqués.
Que ces irrégularités sont relatives notamment:
- A l`absence de ses représentants et délégués dans les bureaux de vote;
- Au bourrage d`urnes;
- Au transport des procès-verbaux par des personnes non autorisées;
- A l`empêchement de vote des électeurs;
- A l`absence d`isoloirs;
- A la majoration des suffrages exprimés;

Sur le grief tiré de l`absence de représentants et de délégués
Considérant que le Code électoral modifié par l`ordonnance n° 2008-133 du 14 avril 2008 portant ajustements au Code électoral prévoit en son article 35 que chaque bureau de vote comprend deux représentants de chaque candidat;
Que l`article 38 dudit Code ajoute que tout candidat a le droit, par l`un de ses délégués, de contrôler toutes les opérations de vote, de dépouillement des bulletins et de décompte des voix dans les locaux où s`effectuent ces opérations, et d`exiger l`inscription au procès-verbal de toutes observations, protestations ou contestations sur lesdites opérations;
Qu`en l`espèce, le requérant explique que ses représentants et délégués dans les bureaux de vote en ont été expulsés ou empêchés d`y avoir accès et qu`ils ont été parfois séquestrés, leurs mandats et documents électoraux détruits;
Qu`ainsi ses représentants et délégués n`ont pu prendre part aussi bien au déroulement du scrutin qu`au dépouillement des bulletins;

Qu`il précise que ces agissements ont été observés à divers endroits de la Région de la Vallée du Bandama, notamment à Bouaké (Koko-Bamoro, Ahougnassou, Belleville) et dans la Région des Savanes, notamment dans le département de Korhogo commune et sous-préfecture comme l`attestent le rapport du Chef du Centre de Commandement Intégré (CCI) et les différents exploits d`audition versés au dossier;
Qu`il s`ensuit que cette absence de représentants et de délégués dus à des exactions constitue une irrégularité grave de nature à entacher la sincérité du scrutin et justifie ainsi l`annulation du scrutin dans les départements ci-dessus mentionnés;

Sur le grief tiré du bourrage d`urnes
Considérant que le requérant soutient que dans le village de Konanprikro, des urnes ont été remplies par une vingtaine de personnes avant d`être transportées au siège de la CEl locale ;
Que dans les bureaux de vote d`Alloko-Yaokro, les présidents ont fait voter des personnes non inscrites en lieu et place des électeurs absents;
Considérant qu`il ressort de la lecture combinée des articles 5 et 34 du Code électoral modifié par l`ordonnance n° 2008-133 du 14 avril 2008 portant ajustements au Code électoral que «la qualité d`électeur est constatée par l`inscription sur une liste électorale}) et que « nul ne peut être admis à voter s`il n`est inscrit sur la liste électorale}) ;
Qu`il en résulte que de telles pratiques, confirmées par le procès-verbal d`audition en date du 29 novembre 2010 sont des faits suffisamment graves et de nature à fausser les résultats du scrutin;

Sur le grief tiré du transport des procès-verbaux par des personnes non autorisées
Considérant que le requérant soutient que les procès-verbaux des bureaux de vote d`Alloko-Yaokro ont été emportés par des éléments des Forces nouvelles;
Considérant que les investigations effectuées ont montré que le transport des urnes par les éléments des forces armées des forces nouvelles s`est généralisé pendant le scrutin du 28 novembre 2010, au mépris des dispositions de l`article 58 in fine du Code électoral modifié par l`ordonnance n° 2008-133 du 14 avril 2008 portant ajustements au Code électoral selon lequel chaque président de bureau de vote est chargé de transmettre les exemplaires des procès-verbaux à la Commission chargée des élections;
Qu`il en résulte que de telles pratiques ont conduit à la manipulation des documents électoraux;

Sur l`empêchement de vote
Considérant que le requérant évoque que plusieurs de ses militants ont été empêchés de voter et que d`autres ont été contraints, sous la menace des armes, à voter le candidat du RDR ;
Qu`à l`appui de sa requête, le requérant produit des témoignages et des procès-verbaux d`audition des victimes qui n`ont pu exercer leur droit au vote;

Considérant que l`article 33 de la Constitution prescrit la liberté du suffrage;
Considérant que des faits d`une telle gravité compromettent la libre expression du suffrage et faussent le scrutin;

Sur le grief tiré de l`absence d`isoloir
Considérant que le requérant soutient que à Nabromandougou, l`urne a été installée en plein air et que le vote s`est déroulé au vu et au su de tout le monde, violant ainsi le principe du secret du vote;
Considérant que le secret du suffrage est un principe proclamé par la Constitution en son article 33 et que le Code électoral modifié par l`ordonnance n° 2008-133 du 14 avril 2008 portant ajustements au Code électoral organise en son article 36 en prévoyant dans chaque bureau de vote un ou plusieurs isoloirs dont l`objectif est de préserver, pour chaque électeur, le vote en toute conscience pour le candidat de son choix;
Considérant que le défaut d`isoloir constitue un vice substantiel, de nature à entacher l`élection d`irrégularités;

Sur le grief tiré de la majoration des suffrages exprimés
Considérant que le candidat GBAGBO Laurent a relevé une majoration de voix au profit du candidat OUATTARA Alassane et versé au dossier une fiche de recensement général des votes de la Commission électorale régionale de Bouaké; Qu`en effet, l`examen des procès-verbaux et le croisement des chiffres fait apparaître que le nombre total de voix obtenues par le candidat Ouattara Alassane dans la Vallée du Bandama s`élève à 244.471 voix;
Qu`en réalité, le candidat OUATTARA Alassane n`a obtenu que 149.598 voix, s`attribuant ainsi frauduleusement, avec la complicité de la Commission électorale régionale, 94.873 voix supplémentaires;
Qu`un tel agissement est caractéristique d`une volonté manifeste de travestir la vérité et entame gravement la sincérité du scrutin dans toute la Région de la Vallée du Bandama (…) Qu`au surplus, il résulte des rapports des ONG et observateurs accrédités par la Commission électorale indépendante, que des actes de violence ont été commis sur les représentants du candidat de La Majorité Présidentielle et sur la population elle-même; qu`ainsi ils n`ont pu ni exercer leur droit de vote, ni assurer la représentation de leur candidat, comme le prescrit la loi;
Qu`il s`ensuit que ces irrégularités doivent entraîner l`annulation des résultats du scrutin dans le département de Séguéla ;
Considérant qu`après le redressement opéré suite à ces annulations, les résultats du scrutin du 28 novembre 2010 se présentent comme suit:

Electeurs inscrits: 5.725.721
Votants: 4.081.765
Taux de participation: 71,28%

Suffrages nuls: 88.556
Suffrages exprimés: 3.993.209

Ont obtenu:
Candidats

Voix Pourcentage

- M. GBAGBO Laurent: 2.054.537 soit 51,45 %
- M. OUA TT ARA Alassane: 1.938.672 soit 48,55 %

Considérant que conformément à l`article 44 alinéa 3 du Code électoral, modifié par l`ordonnance n° 2008-133 du 14 avril 2008 portant ajustements au Code électoral l`élection du Président de la République est acquise à la majorité des suffrages exprimés;

DECIDE:
Article 1 : Les requêtes du candidat Laurent GBAGBO sont recevables mais partiellement fondées;
Article 2: Les résultats du scrutin dans les départements de Bouaké, Korhogo, Ferkessédougou, Katiola, Boundiali, Dabakala et Séguéla sont annulés;
Article 3 : Monsieur GBAGBO Laurent est proclamé élu Président de la République de Côte d`Ivoire ;
Article 4: La présente décision sera affichée, publiée au Journal Officiel de la République de Côte d`Ivoire et notifiée aux intéressés.

DELIBERE par le Conseil constitutionnel en sa séance du 03 décembre 2010.

Où siégeaient:

Messieurs: YAO-N`DRE Paul Président
AHOUA N`GUETTA Timothée Conseiller
DALIGOU Monoko Jacques Conseiller
André WALE Ekpo Bruno Conseiller
Madame KOUASSI Angora Hortense, épse SESS Conseiller
Monsieur TANO Kouakou Félix Conseiller
Madame TOURE Joséphine Suzanne, épse EBAH Conseiller
Assistés du Secrétaire général du Conseil constitutionnel, qui a signé avec le Président.

Le Président
YAO-N`DRE Paul
Le Secrétaire Général
GBASSI Kouadiané

      Gbagbo prête donc serment le lendemain devant le conseil constitutionnel réuni en séance solennelle au palais de la république.

  
       Depuis, la communauté internationale avec à sa tête la France dit  reconnaître ADO comme président et tous les réseaux "françafricains" sont activés.ADO nomme un diplomate reconnu à l'ONU, la rébellion est ainsi légitimée par la grande organisation internationale. La radio de l'ONUCI mène dès lors une campagne de désinformation et de d'incitation à la guerre civile. Les institutions internationales sanctionnent la COTE d'IVOIRE.ADO nomme un gouvernement à la tête duquel se trouve SORO Guillaume, chef de la rébellion, ADO et son gouvernement ont élu domicile au Golf Hôtel, sécurisés par les forces de l'ONU et l'opération militaire française Licorne. Avant la marche du 16 décembre prévue par le RHDP Sur la RTI pour installer, disent-ils un D.G nommé par ADO, les forces de l'Onu transportent des rebelles du nord du pays jusqu'à Abidjan destination Hôtel du Golf, puis arment les manifestants d'armes à feu et blanches. Le jour de la manifestation qu'ils qualifiaient de pacifique les rebelles aidés par des soldats de l'ONUCI et Licorne au Golf attaquent le camp d'observation installé à moins de  2 km du Golf par l'armée régulière. Les manifestants font des actes de violence dans plusieurs zones du pays faisant des victimes surtout parmi les FDS (forces de défense et de sécurité) et leurs familles. Des policiers ont été calcinés à Abidjan Abobo et plusieurs autres blessés sont enregistrés. Bilan:10 morts coté FDS, plusieurs blessés et des destructions de biens publics et privés. L’ONU et ses organisations de défense des droits de l’homme, sans considération pour les victimes inventent un charnier dont elles imposent la responsabilité au FDS.
      En ce moment la FRANCE est en train d'organiser les forces armées du Mali, du Burkina et du Nigeria pour attaquer notre pays puisqu'elle ne veut pas faire la sale besogne aux yeux de tous. Ainsi, alors que Laurent Gbagbo en homme de paix  propose le règlement pacifique du conflit par la formation d'un comité d'évaluation composé de représentants de la communauté internationale et aussi d'Ivoiriens de bonne volonté, les ennemis de la COTE D IVOIRE, désormais dévoilés prévoient une opération militaire pour tuer les ivoiriens. Et pourtant il n'y a pas eu d'opération militaire pour désarmés les rebelles alors que des résolutions de l'Onu le prévoyaient mais plutôt interposition de la FRANCE lorsque l'armée a voulu libérer le pays, on se rappelle que la FRANCE avait détruit l'aviation militaire ivoirienne au sol même.
                         
                                    

                                        MAINTENANT PLACE AUX COMMENTAIRES


Qu'est-ce qu'on veut à la COTE d’IVOIRE. Le pays a fait de gros efforts de démocratisation depuis 2000 même pendant la guerre. Le président a été toujours ouvert au dialogue face aux armes qui le menacent mais notre souveraineté est victime de trop d'ingérence. Ce n'est pas mauvais qu'on s'intéresse à nos élections mais trop c'est trop. Il n'appartient ni à l'Onu, ni à l'UE, ni à l'Union Africaine, ni à la France, ni au USA, ni à là CDEAO de choisir le chef de l'ETAT de COTE D IVOIRE à la place du peuple ivoirien. Blaise COMPAORE est à la tête du BURKINA FASO depuis +23 ans et il vient de remporter les élections à plus de 80% des voix sans qu'il n'y ai eu d’échos, je ne veux pas parler de Wade qui maintenant positionner son fils à la tête du pays, le président sénégalais plonge de jour en jour son pays dans un manque profond de démocratie sans qu'il ne fasse l'objet d'attaques médiatiques, ou de Goodluck  qui dirige le Nigéria grâce à la France. En COTE D IVOIRE dans le souci de la démocratie le Président Gbagbo a satisfait tous les caprices de l'opposition et l’élection a coûté plus de 6000 milliards à l'Etat de COTE D IVOIRE (l’ élection le plus chère au monde).Mais la sorcellerie internationale ne s'arrête pas et des pays nous attaquent parce qu'ils estiment que nos élections se sont mal déroulées.
  Mais les Ivoiriens sont sereins et restent mobilisés. Plusieurs manifestations ont déjà été organisées en Europe et au USA par les Africains de la diaspora (entre autre une devant le siège de l'Onu et une autre devant le conseil constitutionnel français) pour demander à ces pays de respecter les institutions des Etas africains. Laurent Gbagbo a dit qu'il est toujours prêt à dialoguer mais qu'il ne peut négocier la souveraineté de la COTE D IVOIRE qu'il est chargé de défendre et pour cela le peuple le soutient.

     

       POUR L'INDÉPENDANCE TOTALE DE L'AFRIQUE, EN AVANT

 

                                           KPEYE CASIMIR ,  ABIDJAN  LE 28 DECEMBRE 2010

 

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